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Au secours Ségolène revient !
17 septembre 2019

Images des perquisitions chez LFI: Mélenchon

Images des perquisitions chez LFI: Mélenchon accuse Quotidien de jouer "le jeu de la police politique"

Dans un message publié sur son compte Facebook, le chef de file de La France insoumise s'en prend vertement à l'émission phare de TMC, coupable selon lui d'une "manipulation médiatique aux ordres du parquet". 

À une semaine de son procès en correctionnelle pour rébellion, provocation et actes d’intimidation contre l’autorité judiciaire, Jean-Luc Mélenchon fait feu de tout bois. Après s'en être pris au gouvernement et plus particulièrement au ministère de la Justice, le chef de file de La France insoumise s'en prend à un média spécifique. Mardi sur Facebook, il a publié un message dans lequel il accuse Quotidien de jouer "le jeu de la police politique". 

En cause: la rediffusion par l'émission phare de TMC d'images des perquisitions houleuses qui se sont déroulées au QG de LFI en octobre 2018. "Ce sont ses images qui servent de base à nos accusateurs", estime le député des Bouches-du-Rhône qui, avec cinq de ses camarades, sera jugé les 19 et 20 septembre prochains. 

"Manipulation médiatique"

Dès l'origine, c'est l'équipe de Quotidien qui avait diffusé la surprenante séquence de la confrontation entre dirigeants insoumis et les représentants de la justice venus perquisitionner les lieux, notamment dans le cadre de l'affaire des comptes de campagne de la présidentielle de 2017.

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"Depuis un an, 'Quotidien' cachait ces moments où (Alexis) Corbière et moi rassurons les policiers et appelons au calme. C’est le contraire de ce que montrent les 30 secondes que diffuse 'Quotidien' depuis un an", poursuit Jean-Luc Mélenchon sur Facebook. Selon l'ex-sénateur socialiste, l'émission d'infotainment est coupable de "manipulation médiatique aux ordres du parquet".

Comme souvent, Le Monde est également dans le collimateur du patron de LFI, pour avoir publié d'après lui "illégalement des extraits des auditions en faisant croire à une violence absolue".

Jules Pecnard

 

 

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