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Au secours Ségolène revient !
28 décembre 2020

Présidentielle 2022 : la candidature de Mélenchon

Présidentielle 2022 : la candidature de Mélenchon ne semble pas séduire

La cote d'influence du leader de la France insoumise reste stable à 21%, et augmente peu auprès des sympathisants de gauche, même après l'annonce de sa candidature en 2022.

 

Sa candidature pour l'élection présidentielle de 2022 ne fait plus de doutes. Jean-Luc Mélenchon, qui a réuni jeudi 12 novembre le seuil de parrainages citoyens qu'il s'était fixé pour pouvoir se présenter à l'élection, ne semble pourtant pas susciter un fort engouement dans les sondages. 

Selon le baromètre BVA Orange RTL, réalisé auprès de 921 personnes entre le 18 et le 19 novembre, la cote d’influence de Jean-Luc Mélenchon reste stable auprès des Français (21%). Chez les sympathisants de la gauche, elle progresse de deux points, pour s'établir à 46%. Les sympathisants de gauche préfèrent toutefois désormais le leader de la France insoumise à Christiane Taubira et Martine Aubry (respectivement à 38 et 40%). 

La cote d'influence de Jean-Luc Mélenchon reste très élevée des sympathisants de son mouvement, à 81%. Auprès des sympathisants du PS, elle s'établit à 38%, et 31% pour EELV.  

2022 sera la troisième élection présidentielle à laquelle Jean-Luc Mélenchon sera candidat. En 2017, il avait totalisé 19,58% des suffrages exprimés, derrière Emmanuel MacronMarine Le Pen et François Fillon

Il avertit que le pays pourrait bientôt se retrouver avec «huit à 10 millions de chômeurs», avec un effondrement de l’industrie. «En 2022, on va trouver un pays dévasté», résume-t-il en s’attaquant à la stratégie de Bruno Le Maire (croissance, aide aux entreprises, réforme des retraites) qui selon lui «n’a pas marché depuis 30 ans».

Loi Sécurité globale

M.Mélenchon s’en prend ensuite à la loi Sécurité globale, dont il estime qu’elle «favorise et encourage des comportements racistes ou violents [des forces de l’ordre] qui ne pourront plus être connus du public». Il suggère plutôt un «remplacement de l’IGPN, qu’il qualifie de «pseudo-organisme de contrôle», et un rallongement du temps de formation des policiers. Il faut «élever le niveau d’exigence au concours de recrutement», plaide-t-il enfin.

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